Construction de Fermes Porcines au Cameroun
Le groupe français I-Tek, reconnu pour son savoir-faire dans la construction de bâtiments d’élevage, convoite un marché d’envergure au Cameroun. Ce projet, évalué à 5 milliards de FCFA, vise à établir 500 fermes porcines à travers le pays. L’annonce a été faite lors d’une cérémonie à la Chambre d’Agriculture, des Pêches, de l’Élevage et des Forêts du Cameroun (Capef) à Yaoundé.
L’Expertise d’I-Tek au Service de l’Agro-industrie Camerounaise
Depuis sa création en 1992, I-Tek se spécialise dans la conception de solutions innovantes pour l’élevage. Leur projet au Cameroun, qui commencera par une phase pilote à Bankim en septembre 2025, illustre leur engagement envers le développement de l’agro-industrie africaine. La réalisation complète du projet est prévue pour 2026, sous réserve de financement, qui est en cours de mobilisation.
Les Enjeux Économiques et Sociaux
La construction de ces fermes porcines est plus qu’un projet économique. C’est une avancée sociale significative. Elle promet de créer des emplois, de stimuler l’économie locale et d’améliorer la sécurité alimentaire au Cameroun. Le président de la Capef, Martin Paul Mindjos Momeny, a souligné l’importance de ce projet pour le secteur agricole du pays. Il bénéficie du soutien du ministère de l’Élevage, des Pêches et des Industries animales (Minepia) et d’autres partenaires.
Le Rôle de Jangolo dans la Valorisation de l’Agro-industrie au Cameroun
Dans ce contexte de développement agricole, Jangolo joue un rôle crucial en offrant une plateforme robuste pour la commercialisation des produits agricoles. En connectant les agriculteurs aux marchés, Jangolo facilite l’accès aux produits de qualité. Cette initiative contribue à l’amélioration des chaînes de valeur agro-industrielles au Cameroun. Grâce à des initiatives comme la mise à disposition d’un catalogue de produits variés, accessible sur jangolo.cm/products, Jangolo soutient l’agriculture locale et renforce les capacités des agriculteurs.
Cet article est inspiré de l’article original publié sur Investir au Cameroun, que vous pouvez consulter via ce lien pour plus d’informations.